Mots-clés : aviation, Brussels Airport, plan de dispersion
Quelques extraits de l'article de Philippe Lawson publié aujourd'hui dans la Libre.
Les compagnies, membres de BATA (European Air Transport/DHL, TNT, Brussels Airlines, Thomas Cook; VLM, Jetair, Abelag) invitent le futur exécutif fédéral à revoir le système de taxation du personnel navigant, les redevances aéronautiques et celles liées à la sécurité à Brussels Airport. D'après elles, comparé aux autres aéroports qui attirent entre 10 et 20 millions de passagers, Brussels Airport est un site réputé cher (seul Vienne le dépasse) en matière de redevances liées à la sécurité. Elles demandent au fédéral de les prendre à sa charge comme c'est le cas dans les aéroports régionaux où les exécutifs régionaux paient pour la sécurité.
[Aux frais des contribuables donc...]
Elles demandent que l'aéroport réserve le même traitement à toutes les compagnies dès qu'il aura construit son terminal low cost. Concernant la problématique du bruit des avions, elles ont rappelé les investissements réalisés pour renouveler leurs flottes et dénoncé les décisions de justice contradictoires ainsi que les fréquents changements dans les procédures de vols. "Il faut une vraie gestion du bruit avec une approche équilibrée et une sécurité juridique est nécessaire" a déclaré Michèle Lahaye (Brussels Airlines).
[Nous ne savions pas que Kalita avait investi dans des avions flambants neufs. Elle aurait donc jeté ses avions-poubelles au rebut.]