C'est en tous les cas ce qu'affirme Jos Stroobants, le directeur des opérations de la BAC. Une limitation des vols de nuit serait un frein à la croissance de l'aéroport. Des normes de bruit trop strictes (comme celles de la Région bruxelloise) le sont tout autant.
C'est dont le tout à la croissance que veulent non seulement les exploitants de BAC, mais aussi les sociétés de charters. Mais il n'est pas certain que cette croissance soit bénéfique en terme d'emploi.
Par ailleurs, une telle croissance a des coûts environnementaux et de santé publique et en l'absence d'une réelle internalisation de ces coûts, ce sera toujours à la population de les supporter.
Nachtvluchten noodzaak voor groei Zaventem
De Tijd 22.8.2007
Brussels Airport Company (BAC) vraagt de nieuwe regering minstens 18.000 nachtvluchten per jaar toe te laten op Zaventem. Een strengere limiet legt een hypotheek op de ontwikkeling van de nationale luchthaven, zegt Jos Stroobants, de directeur operaties van BAC. De luchthaven pleit ook voor een herfederalisering van een aantal regionale bevoegdheden om een einde te maken aan de rechtsonzekerheid over geluidsnormen.
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AvertissementL'asbl EPURES continue son parcours comme association environnementale.
Vous pouvez la retrouver sur son site et sur sa page Facebook. Nous laissons ce site ouvert comme archives particulièrement sur le dossier des nuisances aériennes.
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Par Cherche l'info
• Avions: actualité, bruit et pollution
• Mercredi 22/08/2007
• 6 commentaires
•
Commentaires
par Identité non publiée.
le Mercredi 22/08/2007 à 13:49
Plaider pour la refédéralisation des normes de bruit, c'est entrer dans la logique du principe de dispersion.
Et Raf DE BAERDEMAECKER est nécessaire pour garantir la connerie
par Papy Mougeot
le Mercredi 22/08/2007 à 23:30
Ce Stroobants doit être un ami de Fernande et du fainéant Raf De Bardemaecker pour dire, comme eux, de telles conneries, bienvenue au club des menteurs du noordrand
Re: Et Raf DE BAERDEMAECKER est nécessaire pour garantir la connerie
par Identité non publiée.
le Jeudi 23/08/2007 à 09:31
Les principaux membres belges du comité de direction de Brussels Airport sont en effet flamands.
Plainte en justice contre Landuyt
par Info-UBCNA
le Vendredi 24/08/2007 à 09:02
BelgiqueBruit des avions : plainte contre LanduytLe ciel de l'est bruxellois reste peu sûr et est toujours plus bruyant. - Y.T. LE VIF - 24 août 2007 Plainte en justice contre le ministre de la Mobilité Renaat Landuyt, infraction aux règles européennes sur les nuisances sonores...: le dossier du survol de Bruxelles et de sa périphérie s'alourdit pour le fédéral. Comme ses collègues du gouvernement sortant, Renaat Landuyt est en affaires courantes. Une situation qui, en principe, interdit au ministre fédéral de la Mobilité de décider seul du choix de procédures de vol temporaires à Bruxelles-National. Pourtant, chaque vendredi, Landuyt impose, par notam (notification), de concentrer tous les décollages du samedi après-midi sur la piste 20, la plus courte et la plus dangereuse de l'aéroport, source de nuisances sonores sur les quartiers très peuplés de la périphérie est de la capitale. « Cet ordre vise à éviter, pendant une partie du week-end, tout survol du Noordrand, les communes flamandes situées au nord de la Région bruxelloise, estime-t-on à l'UBCNA, l'Union belge contre les nuisances des avions. Les communes à majorité francophone de Wezembeek, Kraainem ou encore les deux Woluwe sont, elles, massivement survolées en semaine et le week-end, de jour comme de nuit. » Danger sur la piste Jacques Vandenhaute et François Hoobrouck, président et vice-président de l'UBCNA, ne décolèrent pas. Ils viennent de déposer plainte contre Renaat Landuyt devant le procureur du roi de Bruxelles pour plusieurs motifs : non respect des décisions de justice qui interdisent au trafic aérien d'emprunter la piste 20 ; utilisation dangereuse de cette piste le 11 août ; et procédures de vol décidées sans accord du Conseil des ministres. A la tour de contrôle, on indique que les décisions du ministre priment sur toute autre mesure. « Landuyt n'en fait qu'à sa tête, déplore un spécialiste du dossier. Face à la menace d'astreintes pour non respect des normes de bruit en Région bruxelloises, il invoque les affaires courantes, afin de justifier son incapacité à modifier le plan de dispersion des nuisances. En revanche, le même ministre s'autorise à imposer, en solo, une procédure de vol spéciale pour chaque samedi. » La répétition de décisions exceptionnelles, de semaine en semaine, depuis mai 2005, irrite les pilotes. Les plaignants, eux, relèvent que cette répétition « confère un caractère définitif au choix des pistes », politique que le ministre ne peut mener sans l'aval du gouvernement. Pas de cadastre du bruit Résultat, la Belgique se retrouve, aujourd'hui, en infraction par rapport à une directive européenne qui impose aux Etats membres d'établir des cartes du bruit « au plus tard le 30 juin 2007 ». Le ministre SP.A admet la faute, mais en rejette la responsabilité sur les Régions bruxelloise et flamande. « L'aéroport est pourtant fédéral », réplique-t-on dans les associations de défense des riverains. Les Régions se sont équipées de sonomètres, mais leurs méthodes de mesure et de calcul ne sont pas uniformes. « Il suffirait au ministre de mettre Bruxelles et la Flandre autour de la table pour obtenir des résultats compatibles, répond un expert. N'est-ce pas lui qui projette de créer un institut de gestion des nuisances ? » Landuyt a volontairement traîné les pieds, estiment les habitants de l'Oostrand : un cadastre du bruit révélerait, selon eux, que les nuisances sont surtout concentrées sur l'est de la capitale. Le Vif |
Si on continue à pourrir les riverains de la sorte, on bloquera l'aéroport. C'est simple.