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L'asbl EPURES continue son parcours comme association environnementale.
Vous pouvez la retrouver sur son site et sur sa page Facebook.
Nous laissons ce site ouvert comme archives particulièrement sur le dossier des nuisances aériennes.

Nuisances aériennes
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Bruxelles-National: Bruxelles Air Libre Brussel réclame 9 935 000 euros d’astreintes

Par Cherche l'info • Avions: actualité, bruit et pollution • Lundi 10/09/2007 • 1 commentaire • Version imprimable

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communiqué de du 7 septembre 2007 de Bruxelles Air Libre

L’association de défense des victimes de l’ urbain de exige de l’Etat le payement des astreintes dues pour les infractions à l’Arrêté bruxellois constatées entre le 10 mai et le 30 juin 2007. Le montant dû s’élève à 9 935 000 euros et se base sur les mesures effectuées par l’IBGE (Bruxelles-Environnement / Institut bruxellois de gestion de l’Environnement).

Air Libre rappelle que son objectif n’est pas d’accumuler des amendes dans ses caisses, mais bien de contraindre l’Etat à respecter la législation bruxelloise et les . L’association s’est livrée à une évaluation des astreintes dues par l’Etat - d’ici fin septembre - si les procédures de décollage ne sont pas odifiées. Le trafic aérien étant intense et assez constant durant les mois d’été, si l’on se base sur les 1135 infractions constatées en juin et que l’on considère qu’elle se reproduiront en juillet, août et septembre, on arrive à un total de plus de 25 millions d’euros d’astreintes à payer par l’Etat !

Le Ministre Landuyt, toujours en charge du dossier, ne pourra rester inactif. Vu qu’à deux reprises déjà il s’est autorisé à modifier des procédures de décollage et d’atterrissage durant cette période d’affaires courantes, rien ne devrait l’empêcher de faire appliquer l’interdiction de survol de Bruxelles par les avions les plus bruyants et de mettre ainsi fin à ces dépenses inadmissibles pour l’Etat.

La démarche de Bruxelles Air Libre Brussel vise aussi à faire pression sur les négociateurs du prochain gouvernement, qui aura à gérer le dossier de l’ fédéral. Ils ne pourront manifestement se contenter de la petite phrase inscrite dans la note de l’ex-formateur en juillet : « Le gouvernement confirme l’importance de l’ de et prévoit à court terme une solution permettant de mieux concilier l’exploitation de l’ et la qualité de l’environnement, grâce à une répartition équitable et équilibrée des nuisances liées à l’exploitation de l’. ».

Les négociateurs ne pourront faire l’économie d’une réflexion de fond sur l’avenir de l’ fédéral. Tenant compte des incidences du aérien sur l’environnement et , quelle doit être la capacité maximale de l’ ? Vu la proximité d’une ville d’un million d’habitants, quelle doivent être ses heures d’ouverture et quelles peuvent être ses activités ? En vue d’exposer le moins de personnes possible aux nuisances et aux risques du trafic aérien, comment rétablir des couloirs in et out ? Comment indemniser les victimes qui subsisteront ? Comment répartir le trafic aérien entre l’ fédéral et les aéroports régionaux ? Comment assurer un contrôle impartial des procédures et sanctionner les contrevenants.

Si le prochain gouvernement estime - contre toute logique environnementale - qu’il faut encore développer l’ fédéral, ne doit-il pas lui trouver une autre implantation ?

Comment les négociateurs peuvent-ils décider de l’avenir l’ fédéral alors qu’ils ne disposent pas des conditions du contrat de vente entre l’Etat et ? Que vont-ils décider par rapport à la demande de de racheter les parts que possède toujours l’Etat ?

On le constate, la déclaration gouvernementale ne pourra simplement reproduire la petite phrase laconique de Monsieur Leterme et le carrousel juridique ne s’arrêtera qu’à condition de définir une aérienne cohérente et réaliste qui ne pourra faire fi du respect des personnes, de l’environnement, de la publique et de la sécurité.


Commentaires

Landuyt va respirer l'air pur par Identité non publiée. le Lundi 10/09/2007 à 10:01

 M. Landuyt --SPA/Spirit --Quand il retournera définitivement dans sa base politique à Bruges pour terminer finalement sa carrière politique, il aura une consolation: Il va respirer l'air pur

                                           et sans la pollution atmosphérique avec nuisances sonores des avions, qu'il a laissé derrière lui pour les riverains autour et au-dessus de Bruxelles......

                                           voire "La Petite Gazette" dans "Le Soir" du 8/9/2007: "Le centre-ville de Bruges possède la meilleure qualité de l'air en Flandre, révèle une enquète de

                                           l'institut flamand des études technologiques." (Agence Belga)