10 bonnes raisons d’adopter le vélo
Le vélo, c’est rapide !
Plus de la moitié des déplacements urbains font moins de 5 km. Les embouteillages de plus en plus nombreux et longs empêchent les déplacements rapides des automobilistes et des transports en commun. En moyenne, la vitesse d’un véhicule motorisé est inférieure à 20 km/h… soit la vitesse qu’atteint un cycliste. En outre, le cycliste ne tourne pas de longues minutes pour trouver une place de stationnement. Pour les trajets de moins de 5 km, le vélo est imbattable !
Le vélo, c’est la liberté !
Que l’on soit jeune ou plus âgé, riche ou pauvre, le vélo permet à tous d’être autonome, de ne pas devoir dépendre d’un tiers pour se déplacer. Avec le vélo, chacun choisit où et quand il veut bouger. Rouler à vélo procure un sentiment inattendu de liberté que l’on ne découvre qu’en pratiquant.
Le vélo, c’est bon pour la santé
Finies les longues séances en piscine ou en salle de musculation… Rouler à vélo permet de faire du sport pendant ses déplacements, et gratuitement ! À l’heure où les accidents cardio-vasculaires sont une des principales causes de mortalité, les personnes qui se déplacent à vélo augmentent leur espérance de vie. En outre, si plus d’automobilistes passent au vélo, il y aura moins d’accidents de la route et ils seront moins graves.
Le vélo, c’est bon marché
À vélo, pas besoin de faire le plein, pas de taxes ou d’assurances, peu de frais d’entretien ou de réparation… Si l’on compte qu’un vélo a une durée de vie de dix ans, on peut estimer qu’un cycliste y consacre au maximum 200 € par an. Qui dit mieux ?
Le vélo, c’est bon pour l’économie
Là où la voiture coûte beaucoup d’argent à la collectivité (embouteillages, infrastructures routières, parkings), le vélo, lui, en rapporte ! Outre les emplois directement liés à l’industrie du cycle, les cyclistes (et les piétons) dynamisent les commerces de proximité : alors que les automobilistes ont tendance à faire leurs courses dans des centres commerciaux à l’extérieur de la ville, les cyclistes effectuent leurs achats dans leur quartier, et s’arrêtent plus facilement et plus souvent. Par ailleurs, les cyclistes sont aussi des employés moins souvent malades, moins stressés et donc plus productifs que leurs collègues automobilistes.
Le vélo, c’est bon pour l’environnement
Pas de rejets de gaz à effet de serre ou toxiques, pas de bruit, pas d’infrastructures démesurées et destructrices du cadre de vie. Le vélo augmente la qualité de vie de tous et n’engendre pas d’effet de serre ni de changements climatiques.
Le vélo, complément idéal des transports en commun
L’exemple d’autres pays (Danemark, Suisse…) le prouve : de bonnes infrastructures cyclables augmentent le nombre d’usagers des transports en commun, car elles permettent de rejoindre une gare ou une station de métro plus rapidement et plus confortablement qu’en voiture ou en multipliant les correspondances entre transports publics.
À vélo, même pas peur de la météo !
Les cyclistes circulent au sec sur plus de 90% de leurs déplacements : non seulement il ne pleut pas autant que l’on croit en Belgique, mais en plus les cyclistes, plus libres de leurs mouvements et plus rapidement arrivés à leur destination, peuvent attendre la fin d’une averse avant de se mettre en route. Si l’on ajoute que les deux pays européens où il y a le plus de cyclistes sont les Pays-Bas ou le Danemark, on comprend facilement que la météo n’est pas un obstacle aux déplacements à vélo.
À vélo, même pas peur de la pollution !
Plusieurs études scientifiques le démontrent : un automobiliste, enfermé dans son habitacle et coincé dans les embouteillages, est soumis à une pollution bien plus importante qu’un cycliste, qui par ailleurs évite les grands axes et les tunnels, et dont la prise d’air est plus haute que l’automobiliste (à hauteur des pots d’échappement).
À vélo, même pas peur des côtes !
Le relief n’est pas un obstacle pour la pratique du vélo : les cyclistes choisissent leurs itinéraires en fonction de leur forme, et peuvent effectuer un léger détour pour éviter une côté importante. D’ailleurs, des villes comme Berne (Suisse) ou Trondheim (Norvège) connaissent un nombre importants de cyclistes malgré leur forte déclivité.