Mots-clés : Développement Durable, Transport, Réchauffement climatique, CO² et gaz à effet de serre
Il ne faut jamais perdre de vue que le transport est une demande dérivée. Il n'est en fait que le reflet de l'organisation d'un ensemble d'autres activités soit individuelles, soit liées à la production économique. On ne peut donc agir sur les transports qu'en agissant sur la demande qui les cause. Il y a bien sûr une certaine latitude qui passe par une substitution des modes de transport ou les avancées technologiques permettant de limiter les émissions de gaz à effet de serre, j'en suis convaincu et tout à fait partisan. Mais l'on ne touche pas au noeud du problème tant que l'on se dit que l'on va changer la mobilité sans rien changer à la société dans laquelle ces flux de mobilité s'inscrivent.