S'identifier - S'inscrire - Contact

Avertissement

L'asbl EPURES continue son parcours comme association environnementale.
Vous pouvez la retrouver sur son site et sur sa page Facebook.
Nous laissons ce site ouvert comme archives particulièrement sur le dossier des nuisances aériennes.

Nuisances aériennes
Porter plainte

Quelques liens importants

BAC: trafic en temps réel (fiabilité des trajectoires 2 km)
Bac: trafic (fiabilité inconnue, trajectoire courte)
BAC: pistes en service
BAC: travaux en cours
BAC: déposer plainte 


La solution par l’absurde.

Par Cherche l'info • Avions: actualité, bruit et pollution • Jeudi 09/08/2007 • 0 commentaires • Version imprimable

Mots-clés : , , ,

 

Il convient de prendre très au sérieux la protection de l’environnement et admettre que l’ commerciale est en de devenir une cible privilégiée des écologistes. A tort, sachant que la part aéronautique des émissions de se situe entre 2 et 3% du total. En revanche, et c’est là que réside le vrai problème, le trafic aérien progresse avec une belle constance.

Dans ce contexte, il est important de prendre en considération les arguments des «opposants», ne serait-ce que pour éviter que ne se répandent de solides contre-vérités. Les grandes organisations professionnelles, à commencer par l’IATA, initialement trop lentes à se manifester, ont compris les enjeux et entament à présent un patient travail d’information.

Reste à savoir si certaines campagnes anti- ne devraient pas être considérées d’un œil un peu moins hostile, voire plus objectif, plus positif. Une remarque qui s’applique, par exemple, à «Fly Less». Jeff Gazzard, son principal animateur (il dit modestement coordonnateur), estime que les Européens prennent l’avion à tort et à raison, cela pour rallier des villes parfaitement bien desservies par le . Un voyage d’affaires aérien sur cinq pourrait être supprimé, affirme-t-il.

Une réflexion saute à l’esprit : en France, est-il encore justifié, sinon raisonnable, d’opposer constamment avion et TGV ? Ne s’agit-il pas d’un débat d’une autre époque ? Les passes d’armes entre Air France et la SNCF ont-elles un sens ? Poser la question, c’est y répondre.

 


Extrait d'une chronique de Pierre Sparaco

Commentaires