Mots-clés : Gouvernement fédéral belge
Pour rappel, le premier volet du Printemps de l'Environnement s'est terminé ce 12 juin. Il s'agissait d'une phase "participative" caractérisée par la rencontre de l'associatif, de l'industrie et de spécialistes de l'administration aux différents niveaux regionaux. Des discussions en groupes de travail ont permis à tous les acteurs concernés de présenter leurs positions et de les confronter aux aspirations des uns et des autres.
De son côté, Greenpeace a participé aux groupes de travail consacrés à l'éolien en mer du Nord, aux agrocarburants et aux OGM. Des représentants d'autres organisations non gouvernementales étaient présents dans d'autres dossiers d'importance capitale pour l'environnement, comme par exemple celui des transports. A l'issue de ces discussions, les résultats ont été mis en commun afin de pouvoir en tirer des conclusions et des recommandations pour ainsi orienter le travail des politiques dans la deuxième phase du processus.
C'est dans le but de transmettre ce bilan que le mouvement environnemental s'est adressé à la presse et au ministre Magnette. Les associations ont insisté sur l'importance de prolonger le travail entrepris par des décisions politiques ambitieuses qui appuient ou, pourquoi pas, dépassent les résultats engrangés lors de la phase participative du 'Printemps'.
Les demandes de Greenpeace concernent notamment les énergies renouvelables et les OGM. Greenpeace espère ainsi que le gouvernement belge mettra tout en oeuvre pour connecter la Belgique à un réseau électrique européen installé en mer du Nord afin de capitaliser sur l'immense potentiel de l'énergie éolienne. Dans le secteur des OGM, l'organisation espère que la Belgique évoluera vers une meilleure prise en compte de l'impact socio-économique des OGM. Greenpeace ne manquera bien sûr pas de veiller à ce que les objectifs définis par l'ensemble du mouvement environnemental se traduisent par des choix politiques adéquats et ambitieux. Il s'agit en effet d'une étape incontournable pour lutter contre les changements climatiques et la perte de biodiversité.
De son côté, Greenpeace a participé aux groupes de travail consacrés à l'éolien en mer du Nord, aux agrocarburants et aux OGM. Des représentants d'autres organisations non gouvernementales étaient présents dans d'autres dossiers d'importance capitale pour l'environnement, comme par exemple celui des transports. A l'issue de ces discussions, les résultats ont été mis en commun afin de pouvoir en tirer des conclusions et des recommandations pour ainsi orienter le travail des politiques dans la deuxième phase du processus.
C'est dans le but de transmettre ce bilan que le mouvement environnemental s'est adressé à la presse et au ministre Magnette. Les associations ont insisté sur l'importance de prolonger le travail entrepris par des décisions politiques ambitieuses qui appuient ou, pourquoi pas, dépassent les résultats engrangés lors de la phase participative du 'Printemps'.
Les demandes de Greenpeace concernent notamment les énergies renouvelables et les OGM. Greenpeace espère ainsi que le gouvernement belge mettra tout en oeuvre pour connecter la Belgique à un réseau électrique européen installé en mer du Nord afin de capitaliser sur l'immense potentiel de l'énergie éolienne. Dans le secteur des OGM, l'organisation espère que la Belgique évoluera vers une meilleure prise en compte de l'impact socio-économique des OGM. Greenpeace ne manquera bien sûr pas de veiller à ce que les objectifs définis par l'ensemble du mouvement environnemental se traduisent par des choix politiques adéquats et ambitieux. Il s'agit en effet d'une étape incontournable pour lutter contre les changements climatiques et la perte de biodiversité.