Des aéroports saturés, de fortes contraintes environnementales pourraient justifier le retour de l’hydravion. C’est le maire de New York qui l’affirme.... Lire la suite
Peu probable qu'un tel projet aboutisse. De plus, il me semble que cela ne résoudra en rien la pollution, au contraire. Dans le domaine des idées farfelues, une meilleure solution serait d'éloigner les aéroports des côtes. La construction d'un aéroport off-shore n'est pas bon marché, mais le résultat serait plus qu'intéressant; à 1000km à la ronde, de petits avions sobres et silencieux pourraient alimenter les navettes, genre A380 qui traverseraient l'atlantique, uniquement d'aéroport maritime à aéroport maritime.
Il ne serait plus utile d'avoir des centaines de traversées juste pour relier une ville européenne à une ville américaine et retour: une telle approche est de toutes façons inacceptable et non acceptée, même pour Ryanair, surtout pour Ryanair. Si le trafic atlantique augmente selon les projets, le paradigme actuel qui consiste à relier directement un bouquet de villes européennes à un bouquet de villes américaines plusieurs fois par jour est totalement à rejeter. Une solution d'aéroport de concentration doit être trouvée et il est clair que les grands aéroports européens ne peuvent jouer ce rôle à moins d'accroître leur empreinte environnementale au delà de ce que les riverains au sens le plus large peuvent supporter.
On peut évidemment envisager des aéroports de transfert dans des zones désertes genre Écosse, mais il faudrait vaincre des réticences tout à fait normales qui n'admettraient pas la destruction de paradis écologiques.
Tant qu'on rêve, on pourrait en plus imaginer un aéroport mobile; il devient possible de construire des bateaux genre croisière de 500.000 tonnes; un tel bateau pourrait disposer d'un aéroport aménagé pour les petits avions "short-haul" et traverser l'Atlantique en quatre ou cinq jours avec 20000 passagers, avec tout le confort d'une ville moderne; la durée totale du voyage serait limitée par le fait que au départ et à l'arrivée, un segment aérien avec destination directe serait disponible. Le principal avantage serait la phénoménale économie de kérosène. De plus, de tels bateaux rendraient inutiles la noria de containers dans l'atlantique ainsi que de nombreux vols de fret.
Une flotte serait nécessaire pour traverser au moins quotidiennement mais, coût mis à part, est tout à fait techniquement réalisable par les chantiers navals actuels.
Peu probable qu'un tel projet aboutisse. De plus, il me semble que cela ne résoudra en rien la pollution, au contraire. Dans le domaine des idées farfelues, une meilleure solution serait d'éloigner les aéroports des côtes. La construction d'un aéroport off-shore n'est pas bon marché, mais le résultat serait plus qu'intéressant; à 1000km à la ronde, de petits avions sobres et silencieux pourraient alimenter les navettes, genre A380 qui traverseraient l'atlantique, uniquement d'aéroport maritime à aéroport maritime.
Il ne serait plus utile d'avoir des centaines de traversées juste pour relier une ville européenne à une ville américaine et retour: une telle approche est de toutes façons inacceptable et non acceptée, même pour Ryanair, surtout pour Ryanair. Si le trafic atlantique augmente selon les projets, le paradigme actuel qui consiste à relier directement un bouquet de villes européennes à un bouquet de villes américaines plusieurs fois par jour est totalement à rejeter. Une solution d'aéroport de concentration doit être trouvée et il est clair que les grands aéroports européens ne peuvent jouer ce rôle à moins d'accroître leur empreinte environnementale au delà de ce que les riverains au sens le plus large peuvent supporter.
On peut évidemment envisager des aéroports de transfert dans des zones désertes genre Écosse, mais il faudrait vaincre des réticences tout à fait normales qui n'admettraient pas la destruction de paradis écologiques.
Tant qu'on rêve, on pourrait en plus imaginer un aéroport mobile; il devient possible de construire des bateaux genre croisière de 500.000 tonnes; un tel bateau pourrait disposer d'un aéroport aménagé pour les petits avions "short-haul" et traverser l'Atlantique en quatre ou cinq jours avec 20000 passagers, avec tout le confort d'une ville moderne; la durée totale du voyage serait limitée par le fait que au départ et à l'arrivée, un segment aérien avec destination directe serait disponible. Le principal avantage serait la phénoménale économie de kérosène. De plus, de tels bateaux rendraient inutiles la noria de containers dans l'atlantique ainsi que de nombreux vols de fret.
Une flotte serait nécessaire pour traverser au moins quotidiennement mais, coût mis à part, est tout à fait techniquement réalisable par les chantiers navals actuels.