Mots-clés : Plan de dispersion, Low Cost
La manière dont procèdent les dirigeants de l'aéroport national dans le dossier du LCT n'emporte pas l'adhésion de toute la classe politique flamande. Certains élus estiment que ceux-ci ne devraient pas être exemptés d'une étude d'incidence. "J'ai posé une question parlementaire sur le sujet à la ministre Hilde Crevits (CD&V), car ce type d'infrastructure n'a pas sa place à l'aéroport de Bruxelles-National. La mise en service d'un terminal low cost signifie plus d'avions, donc plus de nuisances. Elle ne fera qu'aggraver les problèmes de circulation dans les environs immédiats de l'aéroport, déjà confrontés à des difficultés liées à la congestion. Ce nouveau terminal risque d'exacerber la concurrence avec les compagnies classiques qui opèrent déjà à Bruxelles-National. Je crois pour ma part qu'il vaut mieux concentrer toutes les activités aériennes low cost à Charleroi, le fret à Liège Airport et les opérations classiques de transport aérien à Zaventem" , nous a confié Jan Peumans (N-VA), échevin de l'Environnement à Riemst et député au Parlement flamand.
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Il est exact que d'ajouter plus encore d'avions même sur les pistes aériennes et nomes de vent historiques génèreraient plus de nuisances.
Il faut en revenir à un aéroport respectueux des citoyens ou de le supprimer car il est à remarquer, que personne n'exigerait d'avoir des survols d'avion au-dessus de sa tête.