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Avertissement

L'asbl EPURES continue son parcours comme association environnementale.
Vous pouvez la retrouver sur son site et sur sa page Facebook.
Nous laissons ce site ouvert comme archives particulièrement sur le dossier des nuisances aériennes.

Nuisances aériennes
Porter plainte

Quelques liens importants

BAC: trafic en temps réel (fiabilité des trajectoires 2 km)
Bac: trafic (fiabilité inconnue, trajectoire courte)
BAC: pistes en service
BAC: travaux en cours
BAC: déposer plainte 


Bruxelles-National: La Région wallonne et le plan Schouppe

Par Cherche l'info • Avions: actualité, bruit et pollution • Mercredi 04/02/2009 • 5 commentaires • Version imprimable

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Des groupes de travail aux résultats déterminants.
  • Les normes de vent sont des éléments essentiels pour l’utilisation des pistes. Plus elles sont basses sur les pistes principales, plus le risque est grand d’utiliser la piste auxiliaire 02/20. Un groupe de travail doit se pencher sur ce sujet et les résultats seront déterminants pour la préservation de notre quiétude.
  • Deux autres groupes de travail doivent se pencher sur le statut de la zone militaire de Beauvechain et sur les routes de vol.
Il ne faudrait pas que résoudre la multiconcentration sur la balise d’Huldenberg conduise à une diminution de l’altitude au-dessus de la zone de Beauvechain, ce qui ne serait sans conséquence sur le niveau des nuisances[4].

 Chers lecteurs,

Nous avons  reçu cette lettre de Monsieur Antoine à l'occasion du lancement du Plan Schouppe dans laquelle il propose les services compétents de la SOWAER pour procéder à des campagnes de mesures. Nous remercions le Ministre de son initiative, mais il est peut-être prématuré de se relancer dans de telles campagnes[1]. Il s’agit de prévoir la bonne méthode et le bon moment pour y procéder avons-nous convenu avec le cabinet du Ministre.  En effet, comme les routes et les altitudes définitives ne sont pas encore connues, il est impératif de connaître les conclusions des groupes d’experts chargés des négociations sur les normes de vent, sur les routes et l’utilisation de l’espace militaire (voir ci-contre) avant d’avoir une vision complète de la situation.
Rien n’empêche d’ailleurs que tous les acteurs politiques du mettent leur poids dans la bataille pour que la Province ne soit pas oubliée dans les tractations. A cet effet, pour repréciser nos demandes, nous sommes en de réexaminer la problématique des routes en fonction des dernières données.
Au-delà de cela, comme nous le précisions dans notre dernier communiqué de presse, la peut en plus exiger sa participation à l’institut d’information qui sera créé en vertu d’un accord de coopération entre les régions flamande et bruxelloise et que les communes brabançonnes soient invitées au forum de concertation

C’est uniquement dans l’alliance de toutes les forces de notre Province que nous obtiendrons peut-être gain de cause.

ASBL


[1] A l’heure actuelle, nous nous basons sur les campagnes réalisées par la SOWAER en 2005 et 2006 qui montrent par exemple que le niveau moyen de bruit à Meise (9 km de l’aéroport) est le même qu’à Grez-Doiceau (20 km de l’aéroport). Ces chiffres nous semblent encore correspondre à la réalité. Le schéma des routes n'a pas encore été fondamentalement modifié.

 

 



Commentaires

par Identité non publiée. le Dimanche 21/06/2009 à 22:06

Je trouve dommage que TBBW n'ait pas donné suite à l'offre d'André Antoine. Cela aurait permis de voir plus clair sur les effets concrets du nouveau plan de dispersion - et notamment sur ce qui se passe en tout cas à Chaumont-Gistoux. Ne faudrait-il pas relancer les négociateurs de la future coalition sur ce sujet?


Re: par chercheinfo le Lundi 22/06/2009 à 08:26

Cher lecteur,

Nous craignons qu'il n'y ait confusion. Le plan Schouppe n'avait officiellement modifié aucune route. Il était donc à l'époque inutile de procéder à de nouvelles mesures, qui auraient été redondantes.

Cependant, sur le terrain, il semble qu'il y ait déplacement de trajectoires occasionnant de nouvelles gènes, mais dont on peut estimer que le niveau est similaire à ce qui a été précédemment mesuré. 
Par ailleurs, Le placement de sonomètres se fait en un point fixe pendant une dizaine de jours. En l'absence de données fiables de trajectoires, déterminer un emplacement optimale pour les mesures pose un réel problème.
Ce ne sont donc pas des études sonométriques coûteuses qui s'imposent dans un premier temps, mais un recueil précis des routes réelles empruntées par les avions. (Nous y (re)travaillons depuis quelques mois).

Sur base de ces données, il deviendra possible d'avancer.

L'équipe de TBBW.


Re: par Identité non publiée. le Mercredi 24/06/2009 à 13:30

Vous avez sans doute raison. Quant au niveau des nuisances subies, j'insiste toutefois pour dire qu'elles ne sont pas, à mon estime, qualifiables de gêne... Sauf à considérer qu'une simple gêne existe lorsqu'un avion passe toutes les cinq minutes (et parfois moins) au-dessus de chez-vous, audible (et comment !) même portes et fenêtres fermées et que ce balai ne connaît aucun répit, puisqu'il débute très tôt le matin pour s'achever tard dans la nuit, tous les jours de la semaine (et pas seulement le week-end). Ceci rejoint la deuxième difficulté que vous évoquez. Il y a manifestement des endroits où le passage est très régulier... 

J'en profite pour vous dire que j'ai toute confiance dans vos démarches et espère qu'elles porteront leurs fruits !


Re: par chercheinfo le Jeudi 25/06/2009 à 17:54

Gène est un vocable général. Pour certains d'entre nous, il s'agit en effet de réelles souffrances.
Bien à vous

L'équipe de TBBW


Prendre bonne note de nos craintes !!! par Marie-Claire le Mercredi 24/06/2009 à 18:16

Monsieur Antoine ne semble pas avoir compris que nous n'avons pas des craintes d'être survolés un peu plus mais que nous nous plaignons parce que nous sommes survolés !!!
Les avions qui passent au-dessus du Brabant Wallon, presque quotidiennement avec presque la  régularité d'un métronome et à basse altitude, à cause de n'importe quel plan de dispersion est une torture.
La piste 02/20 est une piste de dépannage et elle est devenue une piste principale pratiquée comme dit plus haut presque quotidiennement mais de toutes façons surtout les fins de semaine et lorsqu'il fait beau temps. 
A force d'espérer que nos politiciens francophones fassent enfin leur travail, il est certain que les  poules auront des dents.

Ne seraient-ils devenus que les vassaux des politiciens flamandophones, qui eux décident simplement de nous envoyer toutes les nuisances sonores et atmosphériques de l’aéroport de Flandre ?

Il a déjà fallu attendre tant de temps avant que nos politiques reconnaissent enfin que c’est bien un problème communautaire mais alors qu’ils ont tout en main pour nous défendre, ils ne font rien ou pas grand-chose.  Rien que des interpellations au secrétaire d’état E. Schouppe et qu’ils savent très bien que cela ne sert à rien.

La question que je me pose est maintenant celle-ci : ne nous auraient-ils pas vendus ?  Vendus sans scrupule notre santé, notre sécurité et notre qualité de vie et pourquoi ?