Mots-clés : Plan de dispersion
Communiqué de Presse de l'UBCNA du vendredi 11 septembre 2009 sur le Low Cost
Les faits démontrent que Bruxelles n'a jamais eu besoin d'un Terminal aéroportuaire pour les vols Low Cost
Didier Gosuin, Président de l'UBCNA, constate que - comme il ne cesse de le dénoncer depuis juin 2008 - le dossier pour la construction d'un Terminal Low Cost à l'aéroport de Bruxelles-National a été très mal préparé par Brussels Airport. Outre l'opposition de 52 compagnies aériennes desservant Bruxelles contre cette nouvelle activité Low Cost, toutes les communes riveraines ainsi que les associations de riverains s'y opposent ainsi que la majorité des partis politiques démocratiques.
Didier Gosuin constate que tous les travaux qui ont été entrepris autour de l'ancien terminal de l'Expo 58 ont bien été réalisés dans la stricte illégalité, en l'absence de tout permis d'urbanisme, sans autorisation de rénover ou de bâtir, sans permis d'exploitation ni étude d'incidence environnementale, pourtant imposée par la Cour Européenne de Justice.
Brussels Airport avoue, enfin, que son projet était mal présenté et qu'il est impossible de modifier toute redevance aéroportuaire pour permettre une redevance réduite pour les vols Low Cost avant au plus tôt la fin de l'actuelle période de régulation expirant au 31 mars 2011.
Pour l'UBCNA, il ne peut être question d'envisager malgré tout l'ouverture d'un Terminal Low Cost en 2011, Bruxelles-National n'a pas besoin d'une telle activité supplémentaire. Pas plus que les vols cargos n'ont encore leur place dans un aéroport si urbain, dont l'extrémité des pistes se situe à moins de 10 kilomètres de la Grand-Place.
Didier Gosuin estime que le rôle exact de l'aéroport doit être redéfini rapidement : un aéroport urbain, ouvert uniquement de jour, pour des vols régionaux avec des avions récents et peu bruyants, sans activité Low Cost ni activité cargo nocturne.
Didier Gosuin
Président de l'UBCNA
Député-Bourgmestre d'Auderghem
Ancien Ministre
Les faits démontrent que Bruxelles n'a jamais eu besoin d'un Terminal aéroportuaire pour les vols Low Cost
Didier Gosuin, Président de l'UBCNA, constate que - comme il ne cesse de le dénoncer depuis juin 2008 - le dossier pour la construction d'un Terminal Low Cost à l'aéroport de Bruxelles-National a été très mal préparé par Brussels Airport. Outre l'opposition de 52 compagnies aériennes desservant Bruxelles contre cette nouvelle activité Low Cost, toutes les communes riveraines ainsi que les associations de riverains s'y opposent ainsi que la majorité des partis politiques démocratiques.
Didier Gosuin constate que tous les travaux qui ont été entrepris autour de l'ancien terminal de l'Expo 58 ont bien été réalisés dans la stricte illégalité, en l'absence de tout permis d'urbanisme, sans autorisation de rénover ou de bâtir, sans permis d'exploitation ni étude d'incidence environnementale, pourtant imposée par la Cour Européenne de Justice.
Brussels Airport avoue, enfin, que son projet était mal présenté et qu'il est impossible de modifier toute redevance aéroportuaire pour permettre une redevance réduite pour les vols Low Cost avant au plus tôt la fin de l'actuelle période de régulation expirant au 31 mars 2011.
Pour l'UBCNA, il ne peut être question d'envisager malgré tout l'ouverture d'un Terminal Low Cost en 2011, Bruxelles-National n'a pas besoin d'une telle activité supplémentaire. Pas plus que les vols cargos n'ont encore leur place dans un aéroport si urbain, dont l'extrémité des pistes se situe à moins de 10 kilomètres de la Grand-Place.
Didier Gosuin estime que le rôle exact de l'aéroport doit être redéfini rapidement : un aéroport urbain, ouvert uniquement de jour, pour des vols régionaux avec des avions récents et peu bruyants, sans activité Low Cost ni activité cargo nocturne.
Didier Gosuin
Président de l'UBCNA
Député-Bourgmestre d'Auderghem
Ancien Ministre
Présenté comme cela, et rien n'est plus juste, on aurait du mal à ne pas parler de catastrophe industrielle. Il est quand même inouï que personne dans ce cloaque n'aie réagit dès le départ et n'aie signalé que cela ne pouvait que foirer. On sait bien entendu que les tenants de cet aéroport bancal n'ont que faire des lois, du bon sens et de l'opinion du reste des acteurs, mais quel parlementaire va demander à Schouppe comment un tel scénario a pu se développer.
Comment par exemple, Schouppe lui-même qui est supposé être le garant des lois et règlements, n'a-t-il pas agi de façon claire pour mettre ces gens devant leur responsabilité? A ce que je sache, Zaventem est toujours un aéroport fédéral, même si certaines des modalités de développement sont régionalisées!
Si on relit les interventions au parlement de Schouppe, on constate qu'il a commencé par dire qu'il n'était pas partie à ce projet puis ensuite, que les remarques parlementaires sur sa légalité étaient non fondées. La partialité du bonhomme est donc prouvée : il faut lui retirer toute influence sur ce dossier et faire en sorte que le futur du LCT soit sous le contrôle d'un ministre qui a encore la confiance des parlementaires.
Même les plus obtus des gestionnaires de cet aéroport doivent aujourd'hui réaliser qu'on ne peut pas assurer le développement d'un grand aéroport en marchant sur les riverains, sur les lois, et encore moins sur leurs clients. Nulle part dans le monde, cette approche n'a fonctionné et cet aéroport est condamné si on n'en revient pas à la raison et que des décisions équilibrées et acceptables pour l'environnement ne sont pas prises au sein d'organismes de concertation, constitués de tous les acteurs concernés, sans parti-pris ni communautarisme.