Mots-clés : Bierset, Charleroi, Région wallonne
Le processus d’optimalisation et de professionnalisation du secteur aéroportuaire wallon, mené par André ANTOINE sous la présente législature, connaît aujourd’hui son aboutissement.
André ANTOINE a toujours été convaincu qu’il était impératif de donner aux sociétés de gestion des aéroports de Liège-Bierset et de Charleroi-Bruxelles Sud, les moyens d’assurer leur rôle de pôles de développement économique.
Pour ce faire, la politique commerciale des sociétés de gestion devait elle-même être dynamisée : le système de fixation des redevances aéroportuaires a été modifié par le décret RESA du 3 février 2005, les exploitants aéroportuaires devenant compétents pour la fixation et la perception desdites redevances.
Ce souci a également été rencontré en accentuant le professionnalisme du management des aéroports, notamment avec l’arrivée de dirigeants plurilingues issus du secteur.
Ensuite, une étude stratégique du secteur aéroportuaire wallon a été menée à l’initiative d’André ANTOINE. Elle portait sur l’évaluation des structures régissant le secteur aéroportuaire wallon, avec notamment une attention particulière portée à une bonne gouvernance et une meilleure articulation des régulateurs et acteurs actuels.
Ainsi, dès le 15 janvier 2008, en application des conclusions de cette étude, les sociétés de gestions ont obtenu la maîtrise de l’ensemble du processus d’embarquement et de débarquement par le transfert de compétences qui a eu lieu en matière de sécurité et de sûreté et par l’implémentation de l’unicité de gestion.
Par ailleurs, suivant en cela les recommandations de l’étude stratégique, le Gouvernement wallon a décidé de lancer, le 14 février 2008, un appel à partenariat stratégique pour l’aéroport de Charleroi.
Finalisant le processus ainsi initié par André ANTOINE, le Gouvernement wallon a choisi, ce 19 décembre, le consortium SAVE/Holding Communal pour mener des négociations exclusives pour la finalisation de conventions portant sur le rachat de 48,89 % des parts de la société de gestion de l’aéroport de Charleroi-Bruxelles Sud, la sa BSCA.
L’offre liante remise par le groupement SAVE/Holding Communal est basée sur un business plan pour BSCA, qui met clairement l’accent sur la volonté du consortium de réaliser une croissance des activités aéronautiques (6,7 millions de passagers en 2015) et non-aéronautiques sur le site de l’aéroport de Charleroi. Elle met en avant un ensemble de compétences et d’expériences acquises par le groupe SAVE dans le développement d’aéroports régionaux, notamment low cost, que le consortium compte apporter à BSCA afin de soutenir son développement tant au niveau technique, que commercial ou financier. L’offre retenue sur proposition d’André ANTOINE, met en outre en avant la volonté du partenaire de travailler au développement de la plateforme avec les autres actionnaires et le management. Enfin, selon les estimations du consultant Petercam, la valorisation de l’offre est équitable et respecte la valeur actuelle estimée pour la société.
André ANTOINE se réjouit, dès lors, de l’accord intervenu ce jour au sein du Gouvernement wallon, et qui permettra à l’aéroport de Charleroi de renforcer et de développer un important potentiel de croissance, avec les conséquences positives que cela génère en termes d’emploi.
André ANTOINE a toujours été convaincu qu’il était impératif de donner aux sociétés de gestion des aéroports de Liège-Bierset et de Charleroi-Bruxelles Sud, les moyens d’assurer leur rôle de pôles de développement économique.
Pour ce faire, la politique commerciale des sociétés de gestion devait elle-même être dynamisée : le système de fixation des redevances aéroportuaires a été modifié par le décret RESA du 3 février 2005, les exploitants aéroportuaires devenant compétents pour la fixation et la perception desdites redevances.
Ce souci a également été rencontré en accentuant le professionnalisme du management des aéroports, notamment avec l’arrivée de dirigeants plurilingues issus du secteur.
Ensuite, une étude stratégique du secteur aéroportuaire wallon a été menée à l’initiative d’André ANTOINE. Elle portait sur l’évaluation des structures régissant le secteur aéroportuaire wallon, avec notamment une attention particulière portée à une bonne gouvernance et une meilleure articulation des régulateurs et acteurs actuels.
Ainsi, dès le 15 janvier 2008, en application des conclusions de cette étude, les sociétés de gestions ont obtenu la maîtrise de l’ensemble du processus d’embarquement et de débarquement par le transfert de compétences qui a eu lieu en matière de sécurité et de sûreté et par l’implémentation de l’unicité de gestion.
Par ailleurs, suivant en cela les recommandations de l’étude stratégique, le Gouvernement wallon a décidé de lancer, le 14 février 2008, un appel à partenariat stratégique pour l’aéroport de Charleroi.
Finalisant le processus ainsi initié par André ANTOINE, le Gouvernement wallon a choisi, ce 19 décembre, le consortium SAVE/Holding Communal pour mener des négociations exclusives pour la finalisation de conventions portant sur le rachat de 48,89 % des parts de la société de gestion de l’aéroport de Charleroi-Bruxelles Sud, la sa BSCA.
L’offre liante remise par le groupement SAVE/Holding Communal est basée sur un business plan pour BSCA, qui met clairement l’accent sur la volonté du consortium de réaliser une croissance des activités aéronautiques (6,7 millions de passagers en 2015) et non-aéronautiques sur le site de l’aéroport de Charleroi. Elle met en avant un ensemble de compétences et d’expériences acquises par le groupe SAVE dans le développement d’aéroports régionaux, notamment low cost, que le consortium compte apporter à BSCA afin de soutenir son développement tant au niveau technique, que commercial ou financier. L’offre retenue sur proposition d’André ANTOINE, met en outre en avant la volonté du partenaire de travailler au développement de la plateforme avec les autres actionnaires et le management. Enfin, selon les estimations du consultant Petercam, la valorisation de l’offre est équitable et respecte la valeur actuelle estimée pour la société.
André ANTOINE se réjouit, dès lors, de l’accord intervenu ce jour au sein du Gouvernement wallon, et qui permettra à l’aéroport de Charleroi de renforcer et de développer un important potentiel de croissance, avec les conséquences positives que cela génère en termes d’emploi.
