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Nuisances aériennes
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Malgré l’Eyjafjöll, la reprise du trafic se précise.

Par L'informateur • Avions: actualité, bruit et pollution • Lundi 26/04/2010 • 1 commentaire • Version imprimable

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Le psychodrame volcanique qui s’est déclenché à la mi-avril risque-t-il de remettre en cause la reprise du trafic aérien ? La question est évidemment posée, sachant que l’industrie des transports aériens tout entière a été sérieusement bousculée par la fermeture d’une bonne partie de son espace vital. On a assisté à un étonnant jeu de dominos, les problèmes venus d’Islande se propageant rapidement à l’ensemble du Vieux Continent puis affectant peu à peu la planète entière.
L’IATA estime qu’il en a coûté environ un milliard de dollars aux compagnies aériennes européennes. Encore convient-il de s’entendre sur la véritable signification de ce montant, sachant qu’il s’agit d’un manque à gagner et non pas de pertes à proprement parler. Ultérieurement, sans doute constatera-t-on que le bilan financier est moins lourd qu’on ne l’affirme pour l’instant : les voyageurs qui n’ont pas pu entreprendre un déplacement à la date prévue sont susceptibles de tout simplement le remettre à plus tard. Dans ce cas, les recettes correspondantes se déplaceront, sans être perdues pour autant.
Bien entendu, le grand désordre opérationnel né de l’éruption de l’Eyjafjöll, la mise au sol de flottes entières, les soucis de passagers bloqués, souvent au bout du monde, sont à l’origine d’une facture très lourde. Et cela sans préjuger de ce qu’il adviendra des demandes d’indemnisation, voire d’actions en justice. Il ne fait pas de doute, au niveau du bon sens, que la suspension des vols est née d’un cas de force majeure. Néanmoins, tout le monde de l’entend pas de cette oreille et des divergences de vues sont apparues, notamment en ce qui concerne l’interprétation des droits des passagers tels qu’ils sont habituellement appliqués au sein de l’Union européenne. De beaux débats en perspective.
En revanche, il n’est sans doute pas judicieux de se tourner vers le rail, comme le font certains, pour trouver l’inspiration. SNCF, Eurostar, Thalys, etc., parfois généreux en matière de « gestes commerciaux », ne vont en aucun cas au-delà du remboursement du billet, force majeure ou pas. Mais leur réseau ferré ne compte que des lignes courtes, par comparaison avec l’aérien. Eurostar n’a jamais abandonné l’un de ses passagers dans une chambre d’hôtel à Los Angeles…
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Lien croisé par Identité non publiée. le Samedi 15/05/2010 à 15:06

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