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Avertissement

L'asbl EPURES continue son parcours comme association environnementale.
Vous pouvez la retrouver sur son site et sur sa page Facebook.
Nous laissons ce site ouvert comme archives particulièrement sur le dossier des nuisances aériennes.

Nuisances aériennes
Porter plainte

Quelques liens importants

BAC: trafic en temps réel (fiabilité des trajectoires 2 km)
Bac: trafic (fiabilité inconnue, trajectoire courte)
BAC: pistes en service
BAC: travaux en cours
BAC: déposer plainte 


Commentaires d’un riverain : un billet sur deux est électronique

Par Cherche l'info • Avions: actualité, bruit et pollution • Mardi 06/06/2006 • 0 commentaires • Version imprimable

Le trafic aérien, pourvoyeur d’emploi ? A lire cet extrait d’un article de La Libre : ["Le vrai défi est d'accélérer le rythme, pour atteindre l'objectif de 70% de pénétration en 2006, et 100% d'ici fin 2007", a-t-il souligné. L'association, qui représente 265 compagnies pour 94% du trafic aérien mondial, a averti qu'elle sanctionnerait ses membres qui n'adopteraient pas le billet électronique à cette date. Selon l'IATA, qui a émis 315 millions de billets papier en 2005, la disparition du traditionnel billet en version papier permettra de faire économiser plus de trois milliards de dollars au secteur. Le coût d'un billet électronique s'élève à un dollar, contre 10 dollars pour un billet papier.] qu'en pensez-vous?

Cette « innovation », comme la puce radio dans les bagages et colis, n’est pas mise en place pour conserver des postes de travail. Il s’agit bel et bien de faire des économies, en l’occurrence des économies de personnel. J’ai donc personnellement des doutes sur l’affirmation : « Le trafic aérien est pourvoyeur d’emploi ».

Pour Zaventem, on nous bassine avec des études qui démontreraient que cet aéroport générerait des dizaines de milliers d’emploi. 1. Quelle est la fiabilité de ces études ? Que l’on se rappelle l’étude de la VUB qui promettait 10.000 emplois avec DHL sur base d’une analyse erronée. 2. Quelle est la réalité de ces emplois ? Sont-ce de simples transferts géographiques ? Combien d’emplois sont-ils détruits à cause du transport aérien, privilégié parce que non taxé. 3. Quelle est la pérennité de ces emplois ? 4. Combien coûtent-ils à la collectivité ? 5. etc.…

Il est temps que nous ayons une attitude critique à cet égard.

NG.