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Avertissement

L'asbl EPURES continue son parcours comme association environnementale.
Vous pouvez la retrouver sur son site et sur sa page Facebook.
Nous laissons ce site ouvert comme archives particulièrement sur le dossier des nuisances aériennes.

Nuisances aériennes
Porter plainte

Quelques liens importants

BAC: trafic en temps réel (fiabilité des trajectoires 2 km)
Bac: trafic (fiabilité inconnue, trajectoire courte)
BAC: pistes en service
BAC: travaux en cours
BAC: déposer plainte 


Commentaires d'un riverain: Pour ceux qui doutaient encore...

Par Cherche l'info • Avions: actualité, bruit et pollution • Mercredi 22/11/2006 • 3 commentaires • Version imprimable

Mots-clés :

Le Dr Marc Goethals va présenter au VLAAMSE VOLKSBEWEGING sa vision du . Pour tous ceux qui pourraient encore en douter, voici l'ultime confirmation des liens entre certains activistes et la cause nationaliste et séparatiste... défendue par le  . ( )
On ne pouvait être plus explicite : un exposé sur le donné par une personne qui ne maîtrise pas ce dossier et qui n'en a qu'une vision doctrinaire tronquée par ses aspirations anti-démocratiques : de quoi ose-t-il encore se plaindre, il n'y a plus un seul survol d'avions à Meise là où ce docteur réside.
Invitation donnée aux courageux d'aller écouter, malgré tout, ces tissus de mensonge déblatérés avec une haine viscérale pénible à écouter, d'autant que le discours de ce docteur n'est absolument ni scientifique ni correct et tout à fait FAUX.

IR

[Notre expérience e.a. lors de notre intervention à la Commission de l'infrastructure de la Chambre nous permet de corroborer cette vision. Il y avait un soutien (voire une connivence) manifeste des élus Vlaams Belang aux propos des représentant d'une certaine association. Visitez le site du VVB pour vous en faire une meilleure idée NDLR]


Consultez la magnifique affiche de cette "conférence" en cliquant ici.


Commentaires

par Identité non publiée. le Mercredi 22/11/2006 à 09:11

Une fois de plus, nous constatons que si nos élus continuent à ne pas réagir, il y a danger pour la démocratie dans ce dossier et surtout pour l'avenir des francophones ... encore si peu citoyens de ce pays !


Re: par Identité non publiée. le Mercredi 22/11/2006 à 15:52

Vous trouverez ci-dessous un texte d'uns association française autour de Roissy et qui à la lecture de ces quelques lignes rencontrent les mêmes problèmes que nous ...

12/06/2004 - 2/3
Advocnar (Association de Défense Contre les Nuisances Aériennes) – BP 90054 – 95211 St Gratien Cedex
Le projet de « PGS étendu » marque l’accroissement de l’impact financier des nuisances de
l’aéroport de Roissy sur les populations survolées. L’Advocnar en appelle aux élus pour
contraindre les pouvoirs publics à bâtir un véritable plan de maîtrise des nuisances aériennes, qui ne
se contente pas d’un simple volet réparateur, mais qui intègre de réelles mesures de prévention.
Certaines solutions techniques comme le relèvement de l’altitude d’interception du plan de
descente finale, l’approche en pente continue, et l’amélioration des procédures anti-bruit au
décollage tardent à être mises en œuvre. Par ailleurs, l’ouverture d’un débat quant à
l’orientation des pistes de Roissy-CDG, et l’instauration d’une plage de silence total, la nuit, de
huit heures consécutives, devraient permettre d’améliorer les conditions de vie à moyen terme.
* [article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme : Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale,
de son domicile et de sa correspondance] ** selon la Direction Départementale de l’Equipement du Val-d’Oise
Le phénomène de décote immobilière
La décote des biens immobiliers exposés aux nuisances aériennes est particulièrement
sensible sur les biens de milieu et haut de gamme*. C’est pourquoi, ces nuisances
contribuent significativement au phénomène de paupérisation des villes concernées. A partir
d’un certain niveau de revenus, les riverains survolés déménagent, remplacés par des
primo-accédants en quête de surface à petit budget.
L’injustice des nuisances aériennes est triple : les foyers aisés sont contraints de déménager
(déracinement douloureux), les familles qui n’en ont pas les moyens subissent les nuisances
(échec scolaire accru, pathologies nombreuses), elles sont enfermées, peu à peu, dans un
ghetto social, perdant les bénéfices de la mixité.
Pour l’instant, la pénurie de logements en Ile-de-France atténue le phénomène de décote du
marché immobilier exposé aux nuisances. Cependant, on peut s’attendre à une catastrophe
immobilière majeure lorsque les programmes de construction de logements en Ile-de-
France, pourtant bien nécessaires, seront revus à la hausse (promesse électorale de tous
les candidats aux élections régionales de mars 2004 et promesse du ministre de la Cohésion
sociale, en juin 2004, avec un projet de construction de 600 000 logements en 5 ans et une
attention toute particulière portée à l’Ile-de-France).
*Le Particulier Immobilier, avril 2003.
L’échec de la réorganisation de la circulation aérienne du 21 mars 2002
C’est pour « fluidifier » le trafic aérien au-dessus de l’Ile-de-France que la Direction Générale
de l’Aviation Civile (DGAC) a réorganisé l’espace aérien de Roissy – Charles-de-Gaulle, le
21 mars 2002. Bénéfice annoncé pour les riverains : moins de personnes survolées.
Cependant, avec un point d’entrée supplémentaire pour les aéronefs en Ile-de-France,
l’objectif était bien d’accroître les capacités de la plate-forme et non d’optimiser les contours
du Plan de Gêne Sonore (PGS). Les effets négatifs de cette réorganisation ont été soulignés
par l’Institut d’Aménagement et d’Urbanisme de la Région Ile-de-France (IAURIF), en mai
2003, qui déplorait un accroissement important du nombre de personnes exposées aux
survols à moins de 1.000 mètres d’altitude : « L’impact est très négatif quelles que soient les
configurations de vent : + 139 % de personnes sinistrées à Roissy-CDG (soit + 261 000
personnes) et + 67 % à Orly (soit + 44 900 personnes) ».
Chiffres clefs. Par vent d’est, c’est la partie la plus peuplée du Bassin parisien, l’ouest de
Roissy-CDG, qui est survolée par des aéronefs à moins de 3.000 mètres d’altitude. Dans
cette configuration, ce sont 2,4 millions d’habitants et 864 communes qui sont victimes des
12/06/2004 - 3/3
nuisances. Par vent d’ouest, c’est l’est francilien qui est survolé. Dans ce cas, 2 millions
d’habitants et 650 communes sont concernés. Globalement, la population francilienne, très
dense, est 12 à 15 fois plus survolée que celle du reste du Bassin parisien.
« A Roissy, l’orientation est-ouest des pistes ne se justifie plus »*
Le rapport parlementaire sur l’avenir du transport aérien français* est sans ambiguïté : les
pistes du doublet sud de Roissy – Charles-de-Gaulle sont à ce point nuisantes pour les
populations [du Val-d’Oise et des Yvelines] qu’elles pourraient être neutralisées. En
accusation, leur orientation est-ouest, décidée comme telle pour des raisons techniques
inhérentes aux années 60-70, caduques aujourd’hui. « Les avions de ligne pouvant décoller
avec un vent de travers de 35 ou 40 nœuds, et atterrir avec un vent de travers de 30
nœuds », l’idée du changement d’orientation des pistes, vite oubliée par les pouvoirs publics,
pourrait être relancée. Une orientation nord-ouest/sud-est permettrait d’épargner les
populations et de réduirait le coût des nuisances, notamment grâce à une forte optimisation
des contours du Plan de Gêne Sonore.
7 et 8 de la troisième partie du rapport.
Vatry, la respectueuse
environnementales peuvent être honorées, y compris par le transport aérien.
33 000 mouvements annuels pour 600.000 tonnes de fret à l’horizon 2020.
Roissy, qui souffre d’une conception qui remonte aux années 60.
Par Simone Nérome, présidente de l’Advocnar, et Sébastien Trollé,
administrateur à l’Advocnar, auteur du livre « Les Poisons du Ciel ». Contact :
sebastien.trolle@free.fr


Le triangle des Bermudes/Zaventem remis en cause? par H le Vendredi 24/11/2006 à 11:46

Le texte suivant est assez intéressant pour notre situation; savent-ils que le Monsieur belge qui sait tout sur tout (Anciaux) défend la limite de cinq noeuds?
"Les avions de ligne peuvent décoller avec un vent de travers de 35 ou 40 nœuds, et atterrir avec un vent de travers de 30 nœuds »

Il est en tous cas clair que, sauf tempête exceptionnelle, le sens des mouvements doit UNIQUEMENT être motivé par le respect des riverains de cette catastrophe environnementale.

Si négociation il doit y avoir en 2007, tous les acteurs francophones doivent être documentés sur le rejet total et sans compensation des limites artificielles de vents, totalement non fondées techniquement.

Ne serait-il pas possible de rédiger un dossier exhaustif et étayé scientifiquement prêt à être envoyé aux politiques?