Un article de Philippe Paquet publié dans La Libre.

Tracts, pétitions et commentaires ont rappelé que le dossier des nuisances sonores déchaîne les passions. Dans la salle, le mot d'ordre semblait être de tirer sur tout ce qui bouge: les avions, bien sûr, mais aussi les responsables politiques locaux, qui ont paru mesurer tardivement la gravité du problème, et plus encore les absents. Ainsi le ministre wallon du Logement, des Transports et de l'Aménagement du territoire, André Antoine (CDH), à qui l'on a vertement reproché sa politique de la chaise vide à la table des négociations. Et même Laurette Onkelinx qui, ironisait un participant, serait peut-être plus sensible au bruit des avions si elle revenait habiter à Lasne.

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politique trop de bruit en brabant wallon