Mots-clés : Charleroi, Aéroport, Région wallonne
Le Vice-Président du Gouvernement wallon, André Antoine, a accueilli aujourd’hui sur le tarmac de l’aéroport de Charleroi le deux-millionième passager de BSCA (Brussels South Charleroi Aiport). A cette occasion, le ministre wallon en charge des infrastructures aéroportuaires a salué « la succes-story » du 2e aéroport de Belgique, dont le nombre de passagers a décuplé depuis l'installation de BSCA, en avril 2001. En moins de 6 ans, l'aéroport de Charleroi-Bruxelles Sud a multiplié par dix le nombre de ses passagers.
Passé de 200.000 à plus de 2 millions de clients, cet aéroport est devenu un véritable carrefour international au coeur de la Région wallonne, ainsi qu'un moteur économique de premier plan dans une région en pleine restructuration. Le Ministre André ANTOINE rappelle qu’une récente étude menée par le CIRIEC (Centre International de Recherches et d'Information sur l'Economie Publique, Sociale et Coopérative) atteste de cette réussite économique, puisque l'exploitation de l'aéroport de Charleroi- Bruxelles Sud aurait généré en 2005, un total de 2.449 emplois directs et indirects et 3.139 emplois pour l'année 2006.
Pour rappel, la société de gestion de l'aéroport, la sa BSCA, a procédé à trois vagues d'engagements réparties sur l'année 2007, pour un total de l'ordre de 100 postes. Pour la mise en service du nouveau terminal, les besoins en personnel dans les secteurs comme l'horéca et la sûreté permettront de créer d'ici janvier 2008, de 100 à 150 postes de travail supplémentaires. Quant au nombre de passagers, il s'est accru de 15% en 2006 par rapport aux chiffres de 2005. Les résultats de 2007 devraient s'approcher, selon les prévisions de BSCA, du chiffre de 2,5 millions de passagers, avec pas moins d’une trentaine de destinations au départ de l'aéroport régional. Cette réussite n'a pu se produire que grâce aux efforts concertés de tous les intervenants, publics et privés, parmi lesquels le partenaire incontournable de l'aéroport de Charleroi- Bruxelles Sud qu'est la société Ryanair.
Le Ministre André Antoine a insisté sur les perspectives encore plus positives qui sont d'ores et déjà annoncées, puisque la compagnie irlandaise entend ouvrir de nouvelles destinations et profiter pleinement des installations flambant neuves qui seront bientôt à sa disposition à Charleroi. En effet, l'aéroport sera sous peu doté d'infrastructures encore plus performantes puisque, outre la nouvelle aérogare qui devrait être ouverte au public en début d'année prochaine, BSCA disposera aussi de nouveaux parkings avions, de nouveaux parkings voitures, d'un nouvel accès à la piste et d'un nouveau parc pétrolier. Enfin, BSCA devrait fonctionner en catégorie 3, lui permettant d’être accessible même par temps de brouillard, d'ici la fin de l'année 2008 et l'allongement de sa piste devrait quant à lui, être réalisé pour la fin de l'année 2010.
Le Ministre a rappelé que l'idée d'associer Charleroi au sud de Bruxelles faisait sourire il y a dix ans. Elle fait aujourd'hui de l'aéroport de Charleroi le second aéroport de Belgique, où toutes les nationalités se côtoient, puisque 62 % des passagers utilisant l'aéroport sont étrangers. Charleroi a, comme Liège, sa carte à jouer dans le délestage de l'aéroport de Zaventem. Au regard des objectifs que l’aéroport s'est fixé dans le cadre de l'exploitation de sa nouvelle aérogare, celui-ci pourrait conforter sa place de deuxième aéroport national de Belgique. Il est d'ailleurs intéressant de relever que pour une majorité des néerlandophones, qui ont été 400.000 à le fréquenter en 2006, l'aéroport de Charleroi-Bruxelles Sud est plus rapidement accessible que Zaventem.Mais un des atouts de l'aéroport de Charleroi réside également dans la politique d'accompagnement des riverains menée par le Gouvernement wallon, qui fait cruellement défaut à Brussels Airport. Cette politique monopolise en Région wallonne quelque 500 millions d'euros. Elle constitue sans conteste un gage de développement durable des activités aéroportuaires. Pour rappel, Zaventem a accumulé 450.000 plaintes, contre 940 pour les deux aéroports régionaux wallons. Cet apaisement n'est certainement pas sans lien avec le fait qu'aujourd'hui, en Région wallonne, ce ne sont pas moins de 3.000 familles qui ont bénéficié des mesures d'accompagnement des riverains des aéroports de Liège et de Charleroi.
Pour rappel, la société de gestion de l'aéroport, la sa BSCA, a procédé à trois vagues d'engagements réparties sur l'année 2007, pour un total de l'ordre de 100 postes. Pour la mise en service du nouveau terminal, les besoins en personnel dans les secteurs comme l'horéca et la sûreté permettront de créer d'ici janvier 2008, de 100 à 150 postes de travail supplémentaires. Quant au nombre de passagers, il s'est accru de 15% en 2006 par rapport aux chiffres de 2005. Les résultats de 2007 devraient s'approcher, selon les prévisions de BSCA, du chiffre de 2,5 millions de passagers, avec pas moins d’une trentaine de destinations au départ de l'aéroport régional. Cette réussite n'a pu se produire que grâce aux efforts concertés de tous les intervenants, publics et privés, parmi lesquels le partenaire incontournable de l'aéroport de Charleroi- Bruxelles Sud qu'est la société Ryanair.
Le Ministre André Antoine a insisté sur les perspectives encore plus positives qui sont d'ores et déjà annoncées, puisque la compagnie irlandaise entend ouvrir de nouvelles destinations et profiter pleinement des installations flambant neuves qui seront bientôt à sa disposition à Charleroi. En effet, l'aéroport sera sous peu doté d'infrastructures encore plus performantes puisque, outre la nouvelle aérogare qui devrait être ouverte au public en début d'année prochaine, BSCA disposera aussi de nouveaux parkings avions, de nouveaux parkings voitures, d'un nouvel accès à la piste et d'un nouveau parc pétrolier. Enfin, BSCA devrait fonctionner en catégorie 3, lui permettant d’être accessible même par temps de brouillard, d'ici la fin de l'année 2008 et l'allongement de sa piste devrait quant à lui, être réalisé pour la fin de l'année 2010.
Le Ministre a rappelé que l'idée d'associer Charleroi au sud de Bruxelles faisait sourire il y a dix ans. Elle fait aujourd'hui de l'aéroport de Charleroi le second aéroport de Belgique, où toutes les nationalités se côtoient, puisque 62 % des passagers utilisant l'aéroport sont étrangers. Charleroi a, comme Liège, sa carte à jouer dans le délestage de l'aéroport de Zaventem. Au regard des objectifs que l’aéroport s'est fixé dans le cadre de l'exploitation de sa nouvelle aérogare, celui-ci pourrait conforter sa place de deuxième aéroport national de Belgique. Il est d'ailleurs intéressant de relever que pour une majorité des néerlandophones, qui ont été 400.000 à le fréquenter en 2006, l'aéroport de Charleroi-Bruxelles Sud est plus rapidement accessible que Zaventem.Mais un des atouts de l'aéroport de Charleroi réside également dans la politique d'accompagnement des riverains menée par le Gouvernement wallon, qui fait cruellement défaut à Brussels Airport. Cette politique monopolise en Région wallonne quelque 500 millions d'euros. Elle constitue sans conteste un gage de développement durable des activités aéroportuaires. Pour rappel, Zaventem a accumulé 450.000 plaintes, contre 940 pour les deux aéroports régionaux wallons. Cet apaisement n'est certainement pas sans lien avec le fait qu'aujourd'hui, en Région wallonne, ce ne sont pas moins de 3.000 familles qui ont bénéficié des mesures d'accompagnement des riverains des aéroports de Liège et de Charleroi.