Mots-clés : Aviation
L’OPEP se veut rassurante, les prix du brut redescendent, les informations éphémères se multiplient. A qui se fier ?
Il est indispensable d’avoir les nerfs solides. C’est certainement ce que se disent, le matin en se rasant, les dirigeants de compagnies aériennes. En 24 heures, ils ont pris connaissance de nouvelles informations qui le confirment éloquemment.
Commençons par le plus simple. Non, United Airlines n’est pas au bord de la faillite et elle n’a aucunement l’intention de demander aux tribunaux de l’Illinois d’être placée sous la bienveillante protection du chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites.
C’est pourtant ce qu’ont affirmé pendant quelques heures les médias d’outre-Atlantique, y compris la prestigieuse agence Bloomberg. L’information était a priori crédible, United, gérée cahin-caha, faisant partie des géants aux pieds d’argile des transports aériens U.S. Si ce crash financier avait été bien réel, il aurait sans doute créé un véritable mouvement d’inquiétude, voire de panique.
Commençons par le plus simple. Non, United Airlines n’est pas au bord de la faillite et elle n’a aucunement l’intention de demander aux tribunaux de l’Illinois d’être placée sous la bienveillante protection du chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites.
C’est pourtant ce qu’ont affirmé pendant quelques heures les médias d’outre-Atlantique, y compris la prestigieuse agence Bloomberg. L’information était a priori crédible, United, gérée cahin-caha, faisant partie des géants aux pieds d’argile des transports aériens U.S. Si ce crash financier avait été bien réel, il aurait sans doute créé un véritable mouvement d’inquiétude, voire de panique.