S'identifier - S'inscrire - Contact

Avertissement

L'asbl EPURES continue son parcours comme association environnementale.
Vous pouvez la retrouver sur son site et sur sa page Facebook.
Nous laissons ce site ouvert comme archives particulièrement sur le dossier des nuisances aériennes.

Nuisances aériennes
Porter plainte

Quelques liens importants

BAC: trafic en temps réel (fiabilité des trajectoires 2 km)
Bac: trafic (fiabilité inconnue, trajectoire courte)
BAC: pistes en service
BAC: travaux en cours
BAC: déposer plainte 


Ondes GSM : de la cohérence plutôt qu’un nouvel effet d’annonce!

Par Cherche l'info • Trop de nuisances dans nos vies • Jeudi 16/10/2008 • 0 commentaires • Version imprimable

Mots-clés :

Le Ministre Antoine s’est récemment exprimé sur la nécessité, en matière de régulation des antennes , de « sortir de l’hypocrisie et d’élargir le débat en dehors de sa composante urbanistique qui n’est que le dernier rempart dans cette question délicate ». Ces déclarations surprennent à plus d’un titre.

Le ministre André Antoine semble oublier la décision prise par le Gouvernement wallon en début de législature de supprimer le pour les antennes et ce, à l’initiative de son collègue de l’environnement Benoît Lutgen. La Région wallonne est ainsi aussi aujourd’hui privée de tout contrôle environnemental sur les antennes et leur fonctionnement.

Les élus du PS et du repoussent depuis le début de la législature toute discussion, tant au Parlement wallon qu’au Parlement fédéral, sur les initiatives parlementaires d’ visant à mieux réguler le secteur et à lutter contre les risques générés par les ondes électromagnétiques. A Bruxelles, les mêmes partis ont cependant soutenu l’adoption, à l’initiative d’, d’une ordonnance poursuivant ces objectifs.

Pour , il est dès lors urgent que les Ministres Antoine, Lutgen et Donfut se mettent d’accord entre eux et avec leurs homologues bruxellois et fédéraux. C’est au seul prix de cette cohérence qu’il sera possible de construire une crédible de régulation des ondes .

Une basée sur la précaution doit intégrer les éléments suivants : un nouveau régime de permis d’environnement, une norme renforcée pour mieux protéger les citoyens, un étiquetage obligatoire des appareils émetteurs, une protection des lieux publics en particulier ceux qui accueillent les enfants, une sensibilisation accrue aux risques, une participation aux enquêtes épidémiologiques et une reconnaissance des personnes électrosensibles.

C’est ce message qu’ partage avec les qui invitent à manifester ce mercredi 15 octobre devant le Parlement wallon pour une meilleure protection de la population face aux risques électromagnétiques.

Par Thérèse Snoy, Députée fédérale et Bernard Wesphael, Député et chef de groupe au Parlement wallon.