Un article publié sur Le Soir en ligne, mercredi 18 mai 2005 sur les travaux de la commission de l'infrastructure en ce qui concerne le plan de dispersion.
Vous pouvez lire l'article complet en cliquant ici.
Nous en avons extrait le passage ci-dessous qui démontre
1. que le clivage "francophone/néerlandophone" n'est pas de mise;
2. que le ministre tient à conserver le modèle de la dispersion.
Nous ne sommes donc pas encore sorti de l'auberge.
Vous pouvez par ailleurs consulter le compte-rendu de la commission en cliquant ici.
"Plusieurs commissaires ont plaidé pour un retour à la situation d'avant 1999, soit avant le plan de concentration des vols de l'ex-ministre Isabelle Durant (Ecolo) et de dispersion de Bert Anciaux (Spirit). Cette idée avait été émise il y a quelques semaines par le ministre-président bruxellois Charles Picqué et par son ministre de l'environnement Evelyne Huytebroeck. En commission, mercredi, elle a reçu le soutien du député VLD, Luk Van Biesen.
Mais le ministre Landuyt, dont la formation (SP.a) est en cartel avec celle de Bert Anciaux (Spirit), ne veut pas en entendre parler. La proposition n'est pas tenable parce que la situation n'est plus comparable à celle de l'époque. On ne peut revenir en arrière, a-t-il dit."
politique presse
AvertissementL'asbl EPURES continue son parcours comme association environnementale.
Vous pouvez la retrouver sur son site et sur sa page Facebook. Nous laissons ce site ouvert comme archives particulièrement sur le dossier des nuisances aériennes.
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Par Cherche l'info
• Avions: actualité, bruit et pollution
• Jeudi 19/05/2005
• 2 commentaires
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Commentaires Re: Retour en arrière
par Philippe Lefebvre
le Mardi 24/05/2005 à 10:19
Je suis d'accord. De plus, il n'est pas evident qu'il y ai beaucoup plus de trafic qu'en 1999 car Sabena a fait faillite et la crise du 9 spetembre 2001 se fait encore sentir. Il s'agit d'un argument vide. On peut en effet retourner a la concentration intelligente existant en 1999 (comme dans tous les autres pays europeens et meme hors Europe). Neanmoins, les gains sont trops tentants pour ceux qui ont des conflits d'interets (Anciaux): - on achete une maison ou il y a des bruits puis on essaie de deplacer ces nuisances pourfaire une plus-value. - on repartit les bruits pour eviter de devoir payer les isolations/expropriation traditionnelles. - on permets a l'aeroport d'etendre son business parc et on en est recompense... L'argent corrompt malheureusement et le clivage belge ne permets pas de prendre des mesures efficaces poyr enrayer ces derapages. Bien a vous. Philippe Lefebvre
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<p>Que l'on soit de gauche ou de droite, de l'Oostrand, de Bruxelles ou du Noordrand, il y a lieu de se demander pourquoi on ne peut retourner à la situation d'avant Durant. (Je me réfère seulement aux déclarations du Ministre sans aucune autre arrière pensée)</p><p>Est-ce dû à l'augmentation des mouvements (contrairement à ce qu'on prétend du moins jusque peu), augmentation telle qu'elle rend impossible de revenir à la situation antérieur</p><p>Est-ce dû aux types d'avions - il faut dire que les gros porteurs semblent tous les jours un peu plus nombreux</p><p>Est-ce dû au fait que certaines personnes habitant dans des zones précédemment survolées ne peuvent pas être survolées</p><p>Ou Belgocontrol et Biac veulent-ils faire des économies au niveau des frais d'exploitation au détriment des riverains</p><p>Je crains que nous ne saurons jamais la raison ou les raisons exactes, cependant cela permettrait de comprendre quelque peu le calvaire que a plupart des riverains endurent. </p><p /><p />