Source : Les humeurs de Trop de Bruit
En ces lendemains d élections, je ne vous parlerai pas de vos votes et je ne ferai pas de conclusions hâtives. Je ne vous dirai que mes craintes de voir l environnement passer au second plan, derrière des avancées diverses qui seront sans doute autant de reculs significatifs. Mais bon, le vin, aigre pour certains, est tiré, il faut maintenant le boire. Un journaliste de l Express disait des élections que c était la foire aux cocus et les lendemains de veille sont parfois lourds à digérer. Une autre façon de dire que les lendemains déchantent toujours au moins un peu et que les compromis, sans lesquels la vie en société serait impossible, ont des syllabes éclairantes quand ils sont poussés au maximum.