Mots-clés : Aviation, Aéroport
La «méthode Borloo», dans la mesure où elle existe, n’est pas simplificatrice. Elle est simpliste, tout simplement.
Extraits:
l’industrie des transports aériens, considérée dans son acception la plus large, doit se mobiliser au plus vite pour faire valoir son vrai rôle économique et social en même temps que les progrès spectaculaires qu’elle a accumulés au fil des années en matière de respect de l’environnement.
Lire l'article au completDès lors, comment les [politiques] inviter à réfléchir sérieusement au paysage aéroportuaire tel qu’il se présentera en 2050 ? Ils et elles ne seront de toute manière plus là et, de ce fait, ils ne sont pas intéressés. D’où la priorité aux paillettes, lesquelles prêteraient à sourire si elles n’engendraient de considérables dommages collatéraux. Comment, demain, ajouter une piste ici, une aérogare là-bas, poursuivre la réalisation de l’aéroport de Notre-Dame des Landes sur un champ de ruines né de la méthode Borloo ?
Encore un article de ce champion de la désinformation! Tout qui essaie de brider un tant soit peu l'expansion du "commerce" aérien, cette puante activité "humaine", est l'objet de l'ire de ce journaliste subsidié. On peut critiquer Borloo ou Hulot mais à condition d'être soi-même assez "clean", ce qui n'est vraiment pas le cas, même avec des jumelles. Démolir les projets ecolos des gens dévoués quand on est soi-même un sicaire de l'industrie la plus réactionnaire et la plus dommageable de l'environnement est absolument méprisable.
L'industrie de l'amiante a aussi payé des mercenaires "journalistes" pour "expliquer" le problème et se dédouaner; ces gens ont tué plus de gens que les terroristes islamistes et devraient être traités de même. Qui sait combien de gens vont mourir à cause des excès du "commerce aérien" et ce Sparaco est-il fier de se vendre à ces terroristes de l'environnement?