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L'asbl EPURES continue son parcours comme association environnementale.
Vous pouvez la retrouver sur son site et sur sa page Facebook.
Nous laissons ce site ouvert comme archives particulièrement sur le dossier des nuisances aériennes.

Nuisances aériennes
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Interview exclusive de Denis Grimberghs

Par Cherche l'info • Avions: actualité, bruit et pollution • Jeudi 28/04/2005 • 0 commentaires • Version imprimable

Le Chef du Groupe cdH au Parlement régional bruxellois prend fermement position contre un principe de dispersion qui vise de manière absurde à augmenter le nombre de victimes des nuisances sonores. Il dénonce la déresponsabilisation de la BIAC et des compagnies aériennes qui ne sont plus tenues de respecter des engagements financiers qui avaient pourtant été pris en faveur des riverains. Il explique que ces engagements, qui devaient répondre au droit à l’indemnisation des habitants sous forme de mesures d’expropriation ou d’isolation, ont été rendus artificiellement impossibles par l’abandon de nécessaires mesures de concentration des nuisances. Il recuse dès lors le principe d’une « loi de dispersion » spéciale qui serait la traduction d’un accord politique là où les considérations devraient rester purement techniques. Denis Grimberghs affirme que la Région de Bruxelles Capitale doit exiger l’application de mesures correctrices au sol, car c’est la seule manière de conduire ce dossier vers la stabilité juridique. En tant qu’élu de l’opposition communale à Schaerbeek, il démontre que le transfert de nuisances aériennes au-dessus de Bruxelles procède d’une logique économique qui tend à faire de Bruxelles une simple vitrine du Brabant flamand, au mépris de la population bruxelloise. Selon, lui, la Région Bruxelloise n’était en rien redevable vis-à-vis de la Flandre en ce qui concerne la charge des nuisances aéroportuaires et le principe de répartir les nuisances ne se justifiait pas. Pour défendre les intérêts vitaux de la Région bruxelloise, il demande que la réglementation sur le bruit soit appliquée avec la plus grande sévérité, quitte à bloquer au sol sur le tarmac de Zaventem les avions appartenant à des compagnies qui n’honorent pas leurs amendes. Quant à l’existence d’une « Zone F » discriminatoire des francophones, si des documents devaient clairement l’établir, Denis Grimberghs déclare au nom du cdH que toutes les décisions posées par Bert Anciaux devraient alors être de facto considérées comme caduques. (Si l'on en croit RTL-TVI, les faits sont avérés NDLR)

Lire l'interview complète sur Mille Decibels