Mots-clés : Gouvernement fédéral belge
Ce mardi 15 avril, Paul Magnette, Ministre fédéral en charge du développement durable, de l’énergie, du climat et de la protection des consommateurs a lancé officiellement le Printemps de l’Environnement. A travers ce processus « participatif, politique et décisionnel », des représentants de la société civile, des partenaires sociaux et du monde académique vont (tenter de) dégager une série d’engagements concrets en matière d’énergies renouvelables, ressources naturelles et biodiversité, modes de production et de consommation durable, lutte contre les changements climatiques, environnement et santé, transports et mobilité.
Les quatre fédérations envionnementales du pays et les principales organisations d’environnement actives sur le territoire national participeront aux négociations. Si elles seront ouvertes à un dialogue constructif et prêtes à des compromis permettant des avancées réelles, elles refuseront par contre de servir de paravent à l’immobilisme et de cautionner des mesurettes dépourvues d’impact.
Car rien n’est acquis. Il faudra de la vigilance, de l’opiniâtreté ... et surtout du courage politique pour que le processus qui s’engage débouche sur des mesures à la hauteur de l’enjeu. Le risque existe en effet de voir cette initiative chargée d’espoir déboucher sur de simples effets d’annonce. La gravité de la situation ne tolère pas la frilosité ; il n’est plus temps de tergiverser mais bien d’agir, vite et fort.
Pour vous permettre de jeter un regard décalé sur ce « Printemps de l’Environnement » et suivre ses travaux de l’intérieur, la Fédération Inter-Environnement Wallonie mettra en place un blog dont l’adresse vous sera communiquée début mai, lorsque les travaux commenceront.
Revenez vite nous voir !
Jean-Yves Saliez
Les quatre fédérations envionnementales du pays et les principales organisations d’environnement actives sur le territoire national participeront aux négociations. Si elles seront ouvertes à un dialogue constructif et prêtes à des compromis permettant des avancées réelles, elles refuseront par contre de servir de paravent à l’immobilisme et de cautionner des mesurettes dépourvues d’impact.
Car rien n’est acquis. Il faudra de la vigilance, de l’opiniâtreté ... et surtout du courage politique pour que le processus qui s’engage débouche sur des mesures à la hauteur de l’enjeu. Le risque existe en effet de voir cette initiative chargée d’espoir déboucher sur de simples effets d’annonce. La gravité de la situation ne tolère pas la frilosité ; il n’est plus temps de tergiverser mais bien d’agir, vite et fort.
Pour vous permettre de jeter un regard décalé sur ce « Printemps de l’Environnement » et suivre ses travaux de l’intérieur, la Fédération Inter-Environnement Wallonie mettra en place un blog dont l’adresse vous sera communiquée début mai, lorsque les travaux commenceront.
Revenez vite nous voir !
Jean-Yves Saliez