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Vous pouvez la retrouver sur son site et sur sa page Facebook.
Nous laissons ce site ouvert comme archives particulièrement sur le dossier des nuisances aériennes.

Nuisances aériennes
Porter plainte

Quelques liens importants

BAC: trafic en temps réel (fiabilité des trajectoires 2 km)
Bac: trafic (fiabilité inconnue, trajectoire courte)
BAC: pistes en service
BAC: travaux en cours
BAC: déposer plainte 


Demain, tout ira mieux. C’est l’OACI qui le dit.

Par L'informateur • Avions: actualité, bruit et pollution • Mercredi 21/07/2010 • 0 commentaires • Version imprimable

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Il est enfin possible de tourner la page : les statistiques de trafic de l’Organisation de l’aviation civile internationale relatives à l’année dernière sont disponibles. Elles permettent, une fois pour toutes, de dresser le bilan d’un exercice «désastreux» et, surtout, d’annoncer des jours meilleurs sur des bases a priori crédibles. D’autant que l’OACI prend en compte l’ensemble des données disponibles, par exemple, celles relatives aux compagnies low-cost et des charters, cela contrairement à diverses organisations professionnelles, IATA en tête.
Le bilan, ramené à sa plus simple expression : en 2009, le trafic aérien mondial a reculé de 2%. C’est à la fois peu et beaucoup, sachant que la tendance, lissée sur plusieurs années, fait traditionnellement apparaître une progression annuelle de l’ordre de 5%. En revanche, ces 2% permettent de relativiser la gravité de la crise qui se termine, sévère, certes, mais dont les séquelles seront néanmoins comparables –sans plus- à celles de trous d’air antérieurs.
Une fois de plus, c’est l’impact financier de ces difficultés qui suscite la plus grande inquiétude. Les pertes d’exploitation de 2009 sont estimées par l’OACI à 4,1 milliards de dollars, moitié moins qu’en 2008. Néanmoins, il convient aussi de mettre les chiffres en contexte : les pertes de l’année dernière correspondent à moins d’un pour-cent du chiffre d’affaires des compagnies, une manière comme une autre de souligner qu’elles remonteront la pente aussi vite qu’elles l’ont descendue.