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Avertissement

L'asbl EPURES continue son parcours comme association environnementale.
Vous pouvez la retrouver sur son site et sur sa page Facebook.
Nous laissons ce site ouvert comme archives particulièrement sur le dossier des nuisances aériennes.

Nuisances aériennes
Porter plainte

Quelques liens importants

BAC: trafic en temps réel (fiabilité des trajectoires 2 km)
Bac: trafic (fiabilité inconnue, trajectoire courte)
BAC: pistes en service
BAC: travaux en cours
BAC: déposer plainte 


C'est notre Terre ! Une exposition à visiter

Par Cherche l'info • Archives des activités • Samedi 27/12/2008 • 0 commentaires • Version imprimable

Mots-clés :

Des temps différents

Le développement durable est, comme son nom l’indique, une question de temps : des temps qui obéissent à des rythmes différents, qui ne cessent de se mêler, de s’opposer. C’est pourquoi nous avons structuré notre parcours comme une confrontation entre ces temps.
Le temps de la Terre : le temps long de son évolution, de ses cycles fondamentaux. La Terre n’a pas toujours été ce qu’elle est. Les continents ont mis du temps à prendre leur place actuelle ; a souvent été bien plus chaud ou plus froid qu’aujourd’hui, bien des espèces ont disparu. Et ces changements ont demandé un temps qui nous paraît infini.
Le temps des Hommes, bien lent, lui aussi au début, mais qui s’est accéléré. La première rupture entre temps de la Terre et temps des Hommes s’est produite dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, avec la révolution industrielle : à partir de ce moment, les dégradations que l’homme, comme les autres espèces, fait subir à son environnement ne sont plus locales, mais globales. Et, depuis 1950, toutes les courbes s’affolent et semblent grimper vers l’infini. Aujourd’hui, temps de la Terre et temps des Hommes s’opposent. L’un est bien plus rapide que l’autre.
Le temps des écosystèmes. Nous perturbons leur équilibre de plus en plus vite, de plus en plus profondément. Mais un écosystème a besoin de temps pour retrouver son équilibre. Heureusement, des bio-indicateurs nous renseignent sur le temps qui reste avant d’avoir atteint les points de rupture.
Le temps des solutions. Pour de nombreux scientifiques, si notre impact sur la planète n’a pas été radicalement modifié d’ici à 2050, les générations futures devront sans doute faire face à des catastrophes dévastatrices pour beaucoup d’espèces vivantes, dont l’Homme lui-même. Il n’est donc pas – encore – trop tard, mais il est plus que temps de changer notre manière de vivre. Les solutions existent.