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L'asbl EPURES continue son parcours comme association environnementale.
Vous pouvez la retrouver sur son site et sur sa page Facebook.
Nous laissons ce site ouvert comme archives particulièrement sur le dossier des nuisances aériennes.

Nuisances aériennes
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Bruxelles Air Libre: "L’Etat a mal géré son aéroport fédéral: aujourd’hui il doit en assumer les conséquences"

Par Cherche l'info • Avions: actualité, bruit et pollution • Mercredi 02/02/2005 • 0 commentaires • Version imprimable

Lire l'article (dont vous trouverez un extrait ci-dessous) directement sur le site de Bruxelles Air Libre en cliquant ici Extrait de cet article... Le plan de concentration : un projet non abouti Concentrer les nuisances aériennes sur les zones les moins densément peuplées est une pratique habituelle et raisonnable en matière de gestion du trafic aérien. Faute d’une politique cohérente d’aménagement du territoire de la part du Gouvernement flamand, la densification de l’habitat dans une grande partie du Brabant flamand, a rendu la recherche de couloirs aériens inhabités impossible.

Toutefois, en l’absence de promesse d’indemnisation des victimes désignées d’un tel plan de concentration, il est normal que celles-ci se révoltent et réclament plus de solidarité.

De la solidarité, il en faut absolument, mais ce n’est pas en exposant leur nombreuse population aux risques et nuisances des survols, que les zones urbaines doivent manifester leur solidarité. C’est en faisant pression sur le pouvoir politique fédéral qu’elles peuvent faire preuve de solidarité. C’est en exigeant de lui la fin des vols de nuit, la spécialisation de l’aéroport, et surtout l’indemnisation complète et préalable des victimes par les compagnies aériennes (fond FANVA) au nom du principe pollueur/payeur, qu’elles manifesteront utilement leur solidarité.

C’est en ne promettant d’indemnisation à personne, que la mise en route de la première phase de concentration a capoté le 24 janvier 2003. Mise en œuvre avant la suppression des avions les plus bruyants, elle a accru un mécontentement légitime.

Il va de soi, que ce n’est pas aux habitants de la région bruxelloise à payer les conséquences de l’imprévoyance coupable du gouvernement flamand et du gouvernement fédéral. Ce serait injuste, à la fois parce que cette ville était là bien avant l’arrivée de l’aéroport et parce qu’elle est la plus densément peuplée du pays.

Une autre politique d’interdiction de survol de TOUTE zone densément peuplée n’a de chances de succès qu’en offrant aux personnes intensivement survolées, les moyens de se réinstaller ailleurs, créant ainsi des couloirs aériens peu ou inhabités.