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Avertissement

L'asbl EPURES continue son parcours comme association environnementale.
Vous pouvez la retrouver sur son site et sur sa page Facebook.
Nous laissons ce site ouvert comme archives particulièrement sur le dossier des nuisances aériennes.

Nuisances aériennes
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Un amour dévoilé

Par • Des nouvelles venues d'ailleurs • Jeudi 10/12/2015 • 0 commentaires • Version imprimable

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Txt JDS 311 – 10 décembre 2015     Un déménagement prématuré Partons en direction de l’Antarctique et plus précisément de la banquise Brunt sur laquelle est installée une station de recherche britannique. Cette station, appelée Halley en l’honneur du célèbre astronome, a été créée en 1956 et c’est aux recherches menées là-bas, que l’on doit la découverte en 1985 du fameux trou dans la couche d’ozone. Le problème est que cette banquise sur laquelle est posée la station avance chaque année de 500 m vers la mer et que d’immenses icebergs s’en détachent. Par le passé, la station a du être reconstruite et déplacée déjà cinq fois, parce qu’elle était trop proche du bord ou parce qu’elle s’est retrouvée enfouie sous la neige et la glace. La dernière station, inaugurée en 2013, a été conçue pour faire face à l’enneigement. Montée sur des pieds télescopiques, elle est formée de plusieurs modules qui peuvent être déplacés indépendamment. Et elle va justement devoir déménager. Une crevasse de 30 km de long et de 50 m de profondeur progresse en effet vers la station, menaçant à terme de lui couper la route. Le futur emplacement n’est pas encore choisi mais la station devra s’éloigner d’environ  20 à 30 km. Un voyage difficile et couteux qu’il faudra entreprendre d’ici deux ans.   Caviardage royal De la fin juin 1791 à la fin juin 1792, alors que la famille royale est en résidence surveillée aux Tuileries, la reine Marie-Antoinette et le comte de Fersen ont échangé une correspondance secrète. Une partie de ces lettres qui étaient codée a pu être déchiffrée. Mais sur d’autres lettres, le texte est incomplet car il a été en partie masqué par ce que l’on appelle un caviardage, c’est-à-dire de belles ratures. La difficulté pour découvrir ce qui se cache derrière tient à la similitude des encres utilisées. Des cartographies chimiques viennent d’être réalisées sur la lettre datée du 4 janvier 1792. Grâce à de légères variations dans les concentrations de cuivre entre les deux encres, la technique dite de « fluorescence de rayons X sous micro faisceau » a permis de distinguer les deux niveaux d’écriture et d’extraire le texte original [..]