Source : Courrier international - Environnement
Les deux otages français libérés vendredi 10 mai au nord du Burkina Faso se trouvaient dans une zone classée “rouge” par Paris en raison de la menace terroriste. Après la mort de leur guide béninois et de deux militaires tricolores, la presse africaine s’interroge sur le coût humain de cette imprudence [..]