Source : Environnement, santé et Sécurité - Journal de l'Environnement
Une étude, parue le 27 janvier dans la revue Nature Climate Change, montre que la chaleur issue des activités des grandes villes a des incidences météorologiques à plus de 1.000 kilomètres à la ronde.
Les pertes de chaleur générées par les bâtiments et les voitures des grandes agglomérations de l’hémisphère nord ne sont pas anodines. Elles provoquent le réchauffement de grandes régions d’Amérique et d’Asie du Nord, avec des hausses de […] Lire l'article
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