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Nuisances aériennes
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Commentaire de movitcity

Par • Des nouvelles venues d'ailleurs • Lundi 12/03/2012 • 0 commentaires • Version imprimable

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Dans la ville de Cherbourg-Octeville, le Projet de Renouvellement Urbain nous a permis d'élaborer un projet urbain très détaillé qui s'est appuyé sur la modification du P.L.U. pour incorporer les différentes prescriptions. Pour un certain secteur en pente nous avons mis en place des gabarits dans lesquels les promoteurs et les architectes durent s'inscrire. Pour un autre secteur nous avons constitué un jeu complexe obligeant de découper tout projet et programme en volumes dont les proportions sont proches de celles des immeubles du centre ancien de la ville. Grâce à une mission de suivi, nous avons pu contrôler les projets du premier secteur. Le second secteur est une ZAC qui nous permet de suivre chaque projet. Pour tous les secteurs nous avons libéré le COS mais contraint la hauteur, tout en laissant une marge importante. La densité de ces deux secteurs a vite été définie par le nombre de place de parkings. Ces deux secteurs, ayant fait l'objet de projets urbains très précis, disposent également de projets sur les vides, publics ou privés. C'est d'ailleurs le vide qui gère la délimitation des zones constructibles du premier secteur dont le parc qui y a pris place vient d'être inauguré. Dans ces deux cas, nous avons donc fortement induit les volumes. Dans d'autres villes, nous avons été plus "laxistes", laissant aux promoteurs et aux architectes plus de responsabilité dans leur choix d'implantation et de dimensions du bâti. La qualité du résultat dépend vraiment des architectes, mais aussi des promoteurs, retenus. Dans tous les cas nous avons toujours libéré le COS. Les hauteurs des bâtiments sont souvent déjà inscrites dans le P.L.U. Je me rends compte après de nombreux exemples que ce n'est pas la hauteur qui pose problème, ni la densité des projets, mais le manque "d'intelligence" de certains projets. Dans ces cas, 30% de plus ou de moins, ne change rien à l'affaire....