Source : Planète - Le Monde
Il y a un an, l’Assemblée nationale votait en première lecture la proposition de loi relative au « devoir de vigilance des sociétés mères et entreprises donneuses d’ordre ». Un an après, constate un collectif qui compte dans ses rangs Nicolas Hulot, Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT ou Geneviève Garrigos, présidente d’Amnesty International France, le texte n’a même pas été inscrit à l’ordre du jour des travaux de l’Assemblée nationale pour une seconde lecture [..]