Source : Environnement, santé et Sécurité - Journal de l'Environnement
Jusqu’à présent, les évaluations du coût du réchauffement climatique étaient des plus globales. Et elles fluctuaient selon les critères et les périodes de temps pris en compte.
Dans un fameux rapport, l’économiste Nicholas Stern avait estimé, en 2006, le coût de l’action et de l’inaction. Agir pour stabiliser la montée en température, affirmait l’ancien économiste en chef de la Banque mondiale, ne coûterait pas plus de 5% du PIB […] Lire l'article